[ ... ] [Pv: Kalianna]

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Il devait être pas loin de dix heures du soir, et les couloirs du 7eme étage étaient des plus silencieux.
Cette nuit, la lune brillait gracieusement dans le ciel bondée d’étoiles, toutes plus éblouissantes les unes que les autres. De cette manière, il pouvait voir assez clairement dans les couloirs, puisque les faisceaux lunaires n’eurent aucun mal à passer par les grandes fenêtres.
Les pas du Préfet en Chef semblaient tuer le silence à chaque fois qu’ils se manifestaient. Baguette en main, le jeune homme épiait les moindres recoins afin de s’assurer que tout était en règle.
Théoriquement, ce n’est pas a lui de s’occuper des couloirs du 7eme étage, mais suite à un léger incident il s’est retrouvé ici.

Mais quel incident ? Oh rien de bien grave, le Préfet de Gryffondor qui était chargé de cette tâche a dernièrement était victime d’une infection aux orteils. Elle l’empêcherait soit disant de marcher, puisque d’après les rumeurs une note de musique sort dès qu’un de ses doigts de pieds touche le sol. Assez comique comme incident, enfin pas pour lui bien sur ! Quoique, s’il a des connaissances musicales, il peut tuer le temps au moins. Car l’infirmerie c’est sympathique les premières heures, voir les premiers jours puisqu’il y a toujours quelqu’un à votre chevet. Mais plus les jours passent, et plus les gens disparaissent, vous laissant seul à vous ennuyer et vous plaindre. Dante était une exception à la règle bien sur, il pouvait séjourner trois mois sur un de ces lits puants le malade, il aurait toujours quelques élèves à ses côtés.
Bref, c’est par simple générosité il s’est dévoué a prolonger sa nuit en s’occupant de ce tour nocturne.

Le dernier étage du Château, était sûrement celui que Dante fréquentait le moins, la plupart du temps il n’y venait que pour rendre visite au Directeur. C’est d’ailleurs pour cela qu’il avait l’impression de redécouvrir les couloirs ce soir.

Tout en longeant les couloirs, il passait sa mains contres les tapisseries, assez poussiéreuses, sans oublier de scruter brièvement de part et d’autre.

A vrai dire, ce genre de soirée est toujours plus excitante lorsque un événement imprévu se passe, mais la solitude ne fait jamais de mal. Et se retrouver tout seul en pleine nuit lui permettait de réfléchir à plusieurs choses.

Après s’être longtemps attardé près d’un portrait très étrange, il se dirigeait vers le fond de l’étage.
Très étrange Portrait ? Oui en effet, il est assez bizarre, puisque lorsque vous détournez votre regard vous avez l’impression qu’il vous épie ! Aussitôt, vous vous retournez pour le sermonner, et là vous découvrez un gnome en train de dormir, son pouce dans la bouche…
Et le scénario se répète sans cesse, mais le gnome semble toujours plus rapide. Peut être un simple effet, mais peut être pas.
Bien sur, nous mettons l’éventualité que Dante soit fou largement à côté, étant donné que c’est impensable !
Quoiqu’il en soit, même si certains auraient pus passer leur vie à déceler les mystères du cadre, le jeune homme s’en lassa bien vite, et continua son inspection des lieux.

Il passa devant la Grosse Dame, qui dormait à point fermé d’ailleurs, tout en émettant un ronflement des plus stridents. Ce fut lorsqu’il lui tourna le dos, qu’un sourire plein de malice l’envahit ! Elle s’était réveillée, et le cadre s’était ouvert ! L’interprétation était donc des plus simple, il allait pouvoir sanctionner un Gryffondor ! Lorsque le cadre se referma, la Grosse Dame replongea aussitôt dans ses rêves, et elle ne le fit pas en silence !
Toujours sa baguette bien empoignée, le jeune homme entendait les petits pas que faisait le ou la fraudeuse.
Il se retourna donc doucement, afin de pouvoir distinguer le visage de cette mystérieuse silhouette !

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Kalianna venait de poussé le large tableau, qui par habitude, était lourd pour elle, mais ce soir, elle était enervée, et elle n'eut audun mal à la pousser.

En effet, Svett lui faisait des revélations et doutait ensuite de sa confiance..

* dans ce cas, il n'a qu'à rien me dire!!* rouspetta la jeune fille dans sa tête.

Elle sortit donc du portrait, et se rendit compte d'un obscurité incroyable. Des dizaines de tableaux l'entouraient. Les ronflements de leur personnages, firent comprendre à la jeune fille, qu'il était tard et qu'elle ne devait pas faire un bruit...

Mais ue faisait elle ici? elle ne savait pas trop pourquoi, simplement qu'elle avait sans doute besoin d'un peu de solitude.

Elle tendit sa baguette, et voulut l'allumer, mais elle se rendit compte, que ce n'était pas forcément une très bonne idée. Elle s'avança en direction de l'escalier et c'est à ce moment qu'elle percuta une personne.

Son coeur battant à 8 000, elle releva sa baguette d'un geste tremblant, et chuchotta "lumos" en même temps que la personne en question.

Elle aurait put s'attendre à n'importe qui, un professeur, un élève de Gryffondor ou encore un prefet... mais lorsque sa vu se stabilisa après avoir été ébluoie par la lumière, elle apperçut ce regard, celui du jeune homme qu'elle avait attendu, étant obligé de se forcé à réver de lui pour enfin le retrouver...

Bien qu'elle savait qu'elle lui en voulait toujours, elle ne compris pas vraiament ce qui lui arrivait, mais Dante prit son bras, la tirant dans un des angles ou personnes ne les verraient, ni même un tableau...

Il passa sa main dans les longs cheveux doux de la jeune rouge et or, et tout deux s'embrassèrent, oubliant leur petit différent tant qu'il était encore temps...

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Le sourire malicieux du Préfet s’effaça bien vite lorsqu’il fut percuté par la petite silhouette, quoique ce fût une raison de plus pour sanctionner la personne en question. C’est vrai non ?! Bousculer un Préfet en chef doit être punit ! Non ? Ah bon, moi je reste persuadé que si !
Bref, afin de pouvoir apercevoir le visage de son vis-à-vis, il brandit gracieusement sa baguette en murmurant « lumos » tout comme le fit la Gryffondor.
Le mélange des deux lumières émanant des deux baguettes fut assez intense, tout comme leurs sentiments.
Pendant quelques secondes, ils furent tout deux éblouie par leurs sortilèges réciproques, mais lorsque ils purent tout deux se voir, ils avait la même stupéfaction sur leurs visages. Stupéfaits, mais aussi heureux de se voir si hasardeusement !
Il avait envie de parler, de dire quelque chose mais il ne trouvait pas les mots. Si s’était leurs première rencontre il aurait pu passer pour bête.

Depuis le cour de Défense Contre les Forces du Mal, ils ne s’étaient pas reparler, se soir serait le bon moment. Mais pas encore, non pas maintenant….
Il baissa lentement sa baguette, et la rangea même dans la poche de sa cape. Il était dix heures du soir, et personne ne traînait dans les couloirs du 7ème étage, et pour couronner le tout, il mourrai d’envie de l’embrassait… De la sentir contre lui …. Son parfum … Ses lèvres … ‘’ Elle’’ …

C’est d’ailleurs pour cela qu’il la tira dans un angle des couloirs endormis, et l’embrassa langoureusement en passant sa main dans la douce chevelure de Kalianna. Ces moments là, on aimerait qu’ils soient éternels, or ils ne peuvent l’être. Mais c’est se qui fait leurs charme, c’est se qui pousse à tant les apprécier, à tant en profiter, et à s‘en rappeler longtemps après. Ces moment parfaits, où tout autour de vous disparaît, vous laissant seuls… avec celui ou celle que vôtre cœur à choisit.
Il déposa son autre main derrière le dos de la Rouge et Or, et continuait de l’embrasser passionnément.
Ils étaient seuls dans les couloirs du 7ème étage du Château, non loin de la salle commune des Gryffondors, le tout en pleine nuit, c’était si excitant !

Ni Rusard et sa chatte, ni un Préfet, non personne n’aurait put mettre à un terme à ce moment, sauf eux.
Et lui, ne voulait pas, pas maintenant, non encore un tout petit moment. Il devait certainement avoir une petite conversation sur Lui et la ‘’ Miss je sais tout’’ alors il préférait attendre encore un peu. Leurs lèvres continuaient de jouer entres elles, seulement éclairée par la lune, dans ce tout petit angle.

Mais comme chaque chose à une fin, qu’elle soit bonne ou bien mauvaise, le jeune homme du décoller ses lèvres de celle de la Gryffondor. Elle était à peine éclairé par la lumière, mais pourtant si rayonnante !
Le Serpentard ne savait pas si elle comptait abordait la discussion maintenant, alors il préféra se taire, et la contempler.

Invité

Le silence avait prit en otage le 7ème étage, et l'obscurité semblait être bien installée. Seule la lune, tentait d'imposer quelques uns de ses rayons, ce qui permettait aux jeunes tourteraux de pouvoir se regarder. Kalianna n'entendait plus que la respiration de Dante, ce souffle chaud qui se percuttait contre la joue de la jeune fille. Ils étaient tout les deux plongés dans un autre monde, un monde que seuls ils pouvaient contempler et comprendre. Elle passa ses bras autour de son cou, ne pensant plus à rien, juste à lui.

Ils s'étaient retrouvés tous les deux ici, était-ce le fruit du destin? en tout cas la vie voulait qu'il soit ensemble, sinon, elle ne les auraient pas fait se rencontrer.

De plus, le moment était merveilleux. Le silence, un couloir vide, l'obscurtité et juste de quoi se contempler. La scène était vraiment parfaite pour ce genre de situation. Kalianna était à présent excitée à l'idée de l'avoir que pour elle, de n'être que pour lui, et personne, non personne, ne pourrait les embêter, ni même les juger, ni même les punir. Du moins, c'est ce qu'elle ressentait, dans ses bras, une protection incroyable, et un désir qui égaler le sien.

Il passa la main dans son dos, la serrant vers lui... ils s'embrassaient passionnément en laissant le temps s'écouler.. le temps, mais on aurait plus eut l'impression qu'il s'était arrêté. Elle le serrait dans ses bras, et l'embrassait encore plus langoureusement, gardant son corps le plus proche du sien.

Son coeur s'emballait, elle en avait oublier Svett et l'histoire de la bibliothèque. Elle ouvrait ses yeux en amandes et ne voyait que son regard profond, où elle aurait put si loger pour l'éternité.

Ils décollèrent tout deux leurs lèvres sans pour autant séloigner l'un de l'autre, ça non!! Pour une fois depuis des jours où ils pouvaient restés l'un contre l'autre comme à leur toute première rencontre, ils n'allaient pas cracher sur la soupe.

Kalianna le regarda, elle caressa ses cheveux en remettant une mèche rebelle derrière ses oreilles et lui esquissa un de ses plus beaux sourires. Apparament soulagé, Dante posa son front contre le sien, leur regard n'ayant jamais été aussi proche. Ils se regardèrent dans les yeux, même si la petite distance aurait pu les génait, non, il ne se quittait pas des yeux. Elle aimait ces moments de silence entre eux, où tout pouvait être pensé ou même tout pouvait être oublier.

Leurs nez se recontrèrent et ils jouèrent au "bisous esquimaux". C'est comme ça que l'on appel le jeu où les nez se passe d'un coté et de l'autres. C'est ce qui reussit à interrompre le silence, poussait tout les deux par les petits gloussement de rire.

Kalianna souffla de soulagement et passa sa tête dans son cou, y déposa quelques baisers avant de poser sa tête, confortement installée et de lui chuchotter:

"Dante, je ne veux pas te perdre!!.... à chaque fois que je te quitte, je ne sais pas quand je vais te retrouver... je veux pas que tu me laisse, j'ai besoin d'etre avec toi..."

après un moment de silence, Kalianna reflehissait , à je ne sais quoi d'ailleurs, mais après tout l'histoire de la bibliothèque, il lui en parlerai quand il pensera que le moment est venu, et pour l'instant, elle ne voulait pas troubler cette superbe atmosphère. Elle le serra contre elle et après avoir pris une grande inspiration, elle lui dit:

" je ..... je t'..... je t'aime..."

Son coeur battait plus fort que jamais, et elle pouvait sentir celui de Dante contre le sien. mais battait-il par joie de l'entendre, ou battait il par peur que ce ne soit réciproque....

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Si il existait un sortilège capable de remonter le temps, Dante passerait se moment en boucle pendant un long, très long moment ! Ah sa existe ?! Un retourneur de temps vous dites ? Tien, je connaissais pas ! Et sa se trouve où ?! Bref peu importe.

Cette soirée prenait petit à petit un tout autre tournant que ce que s’imaginait le jeune Préfet. Ce tour d’inspection solitaire, s’était transformé en un tout autre monde ou tout semblait être en parfaite harmonie.
Les deux élèves jouaient tout les deux, ils collaient leurs fronts, se regardaient tendrement dans les yeux, ou s’adonnaient à quelques ‘’ bisous esquimaux ‘’. Rien ne semblait pouvoir nuire à tout ça, et c’est ce qui rendait cet instant encore plus magique que se qu’il était déjà.
C’est après avoir déposée quelques baisers dans le coup du jeune homme et s’y être confortablement installée, que Kalianna prit la parole.
Elle lui chuchota qu’elle ne voulait pas le perdre, qu’elle ne voulait pas qu’il la laisse, et qu’elle avait besoin d’être avec lui. Tout ceci, le Serpentard aussi le ressentait, il voulait toujours être avec elle, tout le temps et n’importe où ! Ils n’étaient tout de même pas le premier couple de ces deux maisons différentes tout de même, d’autres avaient déjà du surmonter tout ça, alors eux aussi le feraient !

Dante déposa sa main sur la tête de la Miss, et elle le sera dans ses bras. Leur cœurs semblaient battre en rythme, ensemble, et là, elle lui annonça qu’elle l’aimait.
Rien au monde ne pouvait lui faire plus plaisir, non absolument rien ! Son titre de Préfet en chef ? Il le filerait à qui le veux bien pour pouvoir rester toujours à ses côtés… Ouais même à un Poufsouffle !

Son cœur semblait envahi par une douce et chaude sensation, elle était des plus réconfortante, elle aurai rendu un le plus malheureux des homme heureux.

« Moi, moi aussi je t’aime… » Lui chuchota-t-il doucement en souriant

Il était tellement heureux, qu’il en avait complètement oublié le malentendu de la bibliothèque ! Il en parlera plus tard, ce n’était vraiment pas important pour le moment !

Toujours dans leur petit angle, ils étaient si bien l’un dans l’autre.

C’est alors qu’il entraîna la Sang et Or près d’une des Grande fenêtre, désormais ils n’étaient plus cachés, les rayons lunaires les éclairés mais il s’en moquait. Les portraits pouvaient pleinement les voir, tout comme quiconque entrerait dans le couloir, mais ça aussi il s’en moquait, du moment qu’il était avec elle. Le Serpentard déposa ses mains autours de la taille de celle qu’il aimait, et elle autours de son cou, ils étaient à nouveaux serrés l’un contre l’autre.
Le Préfet ne pouvait lui résister, il l’embrassa tendrement dans le coup et Kalianna qui était appuyé contre la fenêtre semblait plissait un mince sourire. Mais dans la position où il se trouvait c’était difficile de l’affirmer.

Il voulait tant arrêtait de se cacher, et se montrer avec elle devant les autres. Mais il avait en quelque sorte peur, de quoi il ne le savait pas vraiment.

« C’est peut être fou… » Commença-t-il en relevant sa tête, et en regardant la plus belle de toute les femmes dans les yeux. « Mais, on pourraient essayer de ne plus se cacher, ou du moins… de ne plus autant se cacher… » Acheva-t-il.

A chaque fois qu’il la voyait, il mourrait d’envie de courir vers elle, de la serrer dans ses bras ... s’était presque devenue insupportable.
Mais après tout elle n’était peut être pas encore prête, et peut être que lui non plus. Mais il serait être patient, autant de temps qu’il faudrait.

Il désirais lui murmurer des millions de '' je t’aime '', mais à la place il déposa un baiser sur ses douces lèvres, qui en signifiait autant.

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Ce n'était pas très facile de dire une chose pareille, pourtant les mots avait glissé sur les lèvres de la jeune fille pour s'envoler vers l'oreille du jeune homme. Ils semblaient avoir eut de l'effet sur le comportement du jeune vert et argent, qui lui répondit que pour lui, cela était réciproque.
Kalianna pensa qu'ainsi, il ne devait surement pas exiter de plus grand bonheur. Peut -etre l'amour de parents, mais elle ne le connaissait pas vraiment et ne préférer pas y réflechir. Dante l'aimait et c'était la seule chose qui comptait à présent.

Il l'embrassa, et l'attira dans un coin plus illuminé, vers une fenêtre du moins pensait elle, puisque de dos, elle ne vit pas grand chose. Puis elle sentit une partie froide du mur sur laquelle elle se posa, ce qui confirmait son opinion.
Son dos se posa délicatment sur la fenêtre par le poid du jeune homme qui venait se posé contre elle. Corps sur corps, la fraicheur que lui infliger la fenêtre était combattu par la chaleur que lui apportait le corps du prefet en chef.
Elle sentit son cou partir sur le côté pendant que les lèvres de Dante venait à la rencontre de son parfum. Les papillons dans le ventre se remirent à voleter. Elle se laissait faire, comme si elle n'avait plus de force, ou ne voulait plus en avoir.
Ses baisers étaient doux et posé délicatement, ce qui accéléra la respiration de la jeune fille. Elle passat ses bras dans sa cape par devant afin d'atteindre son dos, confiné dans la chaleur que procurait son habit.

Il releva la tête et la regarda. Elle avait toujours la tête penché sur le côté et le regarder ainsi. Il lui dit qu'il ne voulait plus se cacher, mais cette phrase avait une répercution assez bizar chez Kalianna. Autant la jeune fille uarait aimé pouvoir resté avec lui dans la cour, pouvoir s'assoir à ses coté dans les salles de classe mais elle savait que cela n'était pas possible. Même s'ils le voulaient tous les deux, ils ne devaient pas se laisser immerger par la naïveté. Elle redressa sa tête, le regarda droit dans les yeux. Elle le trouvait si beau, elle aurait pu le manger telment elle le désirait. Mais elle lui répondit:

"Tu sais, j'aimerais tellement moi aussi! ce serait si bien que tous fasse abstraction, mais imagine les élèves de gryffondor ce qu'il dirait de moi, et imagine les élèves de serpentard! imagine les professeurs, Rogue, Mc Gonagall..."

Elle baissa la tête, et la releva. Elle croisa ses mains derrière son dos, et elle le tira vers elle avec un petit sourire coquin elle lui dit d'une voix très basse:
"Et puis, c'est tellement excitant!! tu ne trouve pas? on pourra se donner rendez-vous ici maintenant si c'ets toi qui fait les tour de garde!! Et puis, on ne se quittera plus sans se dire où se retrouvez et quand d'accord?"

Elle l'embrassa en attrapant les lèvres du jeune homme avec les siennes, puis elle se décolla. Elle recommença et ainsi de suite, elle donner des petits accoups, à droite, à gauche....il la suivit, la serrant contre lui, le serrant contre elle, ils s'embrassèrent de plus en plus passionnément. Elle le désirait comme une folle...
Elle passa sa main dans le creux de son dos, serrant son bassin contre le sien...

Une de ses bretelles tomba sur le côté ce qui donna l'envie à Dante d'embrasser son épaule, et de la caresser... Pendant ce temps, Kalianna défit le noeuds dans le cou du serpentard, et sa cape tomba au sol dans une fluidité qui ne laissa aucun bruit derrière elle....

Il l'aimait et c'est tout ce qui comptait pour elle...

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Pendant un court instant le jeune homme avait était aveuglé par tous ses sentiments. Heureusement, la Sang et Or l’avait raisonné. Heureusement qu’elle était là tout simplement.
Même si le fait de s’imaginer mains dans la main déambulant dans les couloirs était des plus tentant le regard des autres était aussi primordial. Et puis, avoir l’amour et la popularité à la fois, ce n’était pas plus mal.
Elle fit allusion à Severus et Minerva, il les imaginait ensemble en train de s’embrasser passionnément dans une salle de cour. Bref, il ne tarda pas à faire sortir cette pensé assez ‘’dégoûtante’’ mais aussi amusante de sa tête, pour se concentrer sur la chose qui comptait le plus pour lui, Kalianna.

Puis, elle le tira vers elle, en plissant un petit sourire. Mais quel sourire alors ! Elle le faisait littéralement craquer… Il était fou d'elle le Préfet en Chef de Poudlard !
Et Kalianna avait raison, ce genre de situation était terriblement excitante ! Il se débrouillerai pour s’occuper du septième étage, il ne devrai pas trop avoir de mal.

Dante plissa un petit sourire à son tour en regardant la Miss dans les yeux.

« Tu as raison, c’est mieux comme ça… du moins pour le moment » commença le Préfet « Et je vais me charger du septième étage…il sera rien qu’a nous… » Termina-t-il

Après, ils s’embrassèrent langoureusement, jouant ensemble, ils se désiraient mutuellement…
Lorsqu’une des bretelles de Kalianna tomba délicatement sur le côté, il ne put s’empêcher d’embrasser son épaule, puis de la caresser, elle avait la peau si douce.
Il n’eut pas le temps de déposer un dernier baiser sur son épaule, que la Gryffondor détacha le nœud autour de son cou, laissant sa cape tomber silencieusement avec une grande légèreté. Il n’avait plus que sa chemise noire désormais, à moitié boutonnée d'ailleurs.

Le jeune homme releva doucement la tête, esquissant un petit sourire, il vint à nouveau coller ses lèvres à celles de Kalianna, tout en l’imitant. Il défit son nœud autour du cou, laissant tomber sa cape près de la sienne. Maintenant que son cou était dégagé, il vint le couvrir de baiser tout en se penchant encore un peu.

« Je te promet, de ne plus jamais te quitter sans t’avoir donné rendez vous... » lui chuchota-t-il tendrement en relevant sa tête…

Sur ces mots ils sourirent tout les deux, avant de venir joindre une nouvelle fois leurs lèvres.
La Sang et Or avait les mains derrière le dos du Serpentard, et cette dernière les glissa délicatement sous la chemise du jeune homme. Il était si bien avec elle… tellement bien …

« Je t’aime, » lui murmura-t-il d’une voix que l’on pourrait qualifier de ‘’ sensuelle ‘’ « Et rien ni personne ne me fera dire ou penser le contraire… » Acheva-t-il en caressant l’épaule de la Miss avec son pouce.

...La soirée ne faisait que commençait à présent…

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Kalianna commençait vraiment à oublier le cadre qui l'entourait et avait l'impression d'être sur un nuage, où tout était parfait pour les deux amoureux.
Lorsqu'il lui dit qu'il se chargerait du 7 ème étage pour qu'il ne soit qu'à eux, cela l'excita encore plus, et surtout de penser qu'il pouvait tout gérer. Elle le sentait si fort, qu'elle en était fière d'être à ce moment là dans ses bras... c'est vrai, elle ne pouvait imaginé mieux...

Lorsque sa cape glissa au sol, elle aperçut son torse au travers de sa chemise moitié déboutonnée, et elle ne put s'empecher de la déboutonnée en entier...
Il lui enleva à son tour la cape qu'elle porter sur ses épaules, laissant apparaitre cette petite robe rose pâle aux bretelles si fine, et au corsage si raffiné.
Elle laissait basculait sa tête en arrière pour se laisser couvrir de ses baisers si doux qui la faisait passer dans un autre monde... et puis ses baisers vinrent à rencontrer le dessus de sa poitrine tout en lui chuchottant qu'il ne la laisserait plus sans savoir quand il la retrouverait...

Elle se sentait à présent si importante, et ce sentiment était vraiment le bienvenue... elle sentait qu'elle était importante pour lui, et cela la rassurer incroyablement...c'est comme etre une fleur dans un bouquet, mais savoir que sans nous, le parfum serrait complètement différent...
Ils se regardèrent, sourirent avant de plonger l'un vers l'autre pour s'embrasser encore plus langoureusement...
Kalianna passa ses mains dessous la chemise noire du serpentard, le serrant vers elle, pour le sentir encore plus proche.
Les cheveux de Dante toujours très bien coiffé, se lachèrent et carressèrent le visage de la jeune gryffondor...
Ils se passèrent des secondes et des secondes sans que l'on entendent plus que leur respiration... puis, Dante se mit à chuchotter, mais son souffle ayant changer, son chuchottement aussi... il était sensuel et aurait pu faire mourir, de désir, la jeune fille sur place... lui disant qu'il l'aimait, et que pour rien au monde cela changerait... c'est à son tour que Kalianna chuchotta, et par sa grande surprise, elle se rendit compte que son chuchottement à elle aussi, avait pris une tournure sensuelle, comme si elle était transformée en vampire et qu'elle était à quelques millimètre d'un cou...

" moi aussi je t'aime..... et il n'y a que toi....que toi...oh Dante...."

On entendait plus que leurs respirations qui s'accéleraient, devenant de plus en plus bruyantes par l'effet que procurait l'un à l'autre. Kalianna sentait les mains du vert et argent se baladait le long de son corps comme parti à sa découverte... Elle fit de même... mais la passion était tellement forte, qu'elle entraina Kalianna à le poussé contre le mur d'en face... ne le percutant pas très fort, Dante lui sourit et l'attrappa pour la serrer contre lui, puis il avança, forçant la jeune fille à reculer, continuant de s'embrasser...
Kalianna sentit comme une planche dans le creux de son dos, et apparament Dante l'avait lui aussi sentit... c'était un des meubles qui se trouvait dans les couloirs pour exposé des choses diverses...
Il passa ses mains derrière son dos, l'attrappa par les hanches et la hissa dessus pour qu'elle puisse s'y assoire...

Afin de rester l'un contre l'autre, Dante se hissa entre les jambes de la jeune fille, ce qui relevait à peine sa jupe...Elle croisa ses chevilles derrière son dos, comme pour être sure qu'il ne s'en aille pas et pour l'avoir encore plus proche d'elle...

Cet instant devenait vraiment intense, et leur baisers était si profond, si passionnés...
A présent ils jouaient tous les deux avec leurs lèvres et avec leurs mains, cherchant mutuellement à assouvir ce désir qui malgrès eux, continuait de s'accroître...

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Il n’y avait plus de doute, Dante était l’homme le plus chanceux du monde ! Même après avoir ingurgité des litres et des litres de Felix Felicis il n’aurait pu imaginer un si beau moment ! Oh mais qu’avait t’il fait pour avoir un si beau cadeau ? Non pas un cadeau, c’était bien plus que ça ! Mais qu’importe puisqu’il l’avait, pour lui tout seul ! Oh il en était fou, fou amoureux… Il sauterait par la fenêtre si elle lui demandait, il avalerait son insigne de Préfet si elle le souhaitai… Ah il en était vraiment dingue ! Si bien qu’il ne pensait qu’a elle, elle, elle et encore elle… Rien d'autre !

Sa chemise entièrement ouverte, le jeune homme admira la robe rose pâle aux bretelles que portait Kalianna, il était un piètre connaisseur, mais elle était magnifique ! Mais tout était magnifique sur elle !
Et lorsque elle lui dit qu’elle l’aimait, que lui ! Lui et lui seul ! Elle avait une voix si excitante ! Mais elle l’était tant ! Bien des hommes ont recherché la femme parfaite ,en vain, si bien qu’ils ont dit qu’elle n’existait pas, mais se ne sont que de piètres mensonges ! Dante lui il l’avait trouvée !
Il avait envie de lui murmurer des « je t’aime » jusqu’à ne plus pouvoir parler, il était vraiment fou, fou amoureux de la Gryffondor !

Oh et quand elle déboutonna sa chemise, il pouvait sentir ses mains déambulait sur son torse, de manière si sensuelle ! Il en avait des frissons de partout !

Il semblait s’être crée une tout autre atmosphère, bien plus charnelle, qui reposait sur le désir, et sur les moindres gestes de l‘un et de l‘autre…

Pendant un bon moment, seules leurs respirations qui s’accéléraient au rythme de leurs baisers, devenant de plus en plus bruyantes, se faisait entendre. Leurs mains se baladaient mutuellement en caressent le corps de l’autre, procurant une sensation si plaisante ! Il semblait se découvrir tout les deux, dans leur plus grande intimité !

Et puis la tension monta, ils continuaient de s’embrasser, mais encore plus passionnément ! Parfois il percutait quelques chose, parfois c’était elle. Mais cela ne les empêchait pas de continuer, au contraire ! Dante avait chaud, il était aussi excité qu’un loup garou lâché en pleine ville ! Non, bien plus même !

Et quand il furent contre un vieux meuble sur lequel se trouvait quelques babioles totalement inutile, le Serpentard attrapa la Sang et Or par les hanches, et il la déposa dessus. Mais ne tenant pas à être éloigné d’elle, il se hissa entre ses jambes. Le jeune homme remarqua d’ailleurs que cela releva légèrement sa jupe. Oh mais comment fait il pour ne pas exploser sous l‘immense désir qu‘il éprouve ?!
Il plissa un petit sourire, tout en se mordant les lèvres lorsqu’elle croisa ses chevilles derrière le dos du garçon.

Elle continuait de caressait le torse du Préfet en Chef, qui fit intentionnellement tomber sa chemise noire au sol, le laissant torse nue, dans la demie obscurité la plus excitante qu’il existe !
Ils ne se lassaient pas des caresses charnelles, et autres baisers passionnels ! Non, puisqu’ils continuaient avec autant d’envie et de désir !

Tout en déposa un énième baise des plus tendre qu’il soit dans le cou de la Miss, il baissa délicatement la deuxième bretelle de sa robe.
Et, Dante déposa ses deux mains sur les hanches de Kalianna, il les fit délicatement remonter, la robe au rose si attirant remontait aussi doucement, emportée par les mains du Préfet.

Mais comment arrivé il encore a lui résister ? C’était impossible elle était si séduisante, si sensuelle….

Invité

Elle l'embrassait, il l'embrassait, ils se caressaient...

il semblait qu'il n'exustait plus que cela pour les deux jeunes amoureux... la jeune fille passait ses mains sur le torse du jeune homme, les laissant jouait dans les creux et bosses que formait cette partie du corps assez musclée.
Remontant ses mains sur ses épaules si savoureuses, elle fit glissait la chemise sur les bras de Dante, tomba au sol, rejoignant les deux capes...
Il était torse nu et la lumière savait juste s'adonnait aux endroits où il le fallait pour produire un effet de parait. Embrassant toujours le jeune homme, elle décendait dans son cou, puis remontait pour retrouver les lèvres qui lui manquait déjà.

oh qu'elle le désirait... elle avait chaud, elle transpirait, respirant si fort, et entedant à son tour la respiration du garçon, cela l'excitait encore plus....

Elle sentit ensuite sa deusième bretelles partir et glisser le long de son bras, puis des mains si gracieuse se placées sur ses hanches... Elles remontaient, enportant sa jupe avec elles, ce qui laissait Kalianna dans un état d'extase...

Il les remontait, profitant de les passer sur sa poitrine... Et elle s'aperçut que c'était très agréable...
Le bas de sa jupe était à présent coincé dans le pli que formait les cuisse avec le heut du corp de la jeune fille, laissant apparaître un sous-vêtement blanc aux finissions de dentelles..

Elle le regarda et mordille sa lèvre inférieure à son tour... ils se cherchaient, apprenaient de l'autre, se laissant eùbraquaient dans de nouvelle découvertes et conquêtes, car oui, dès qu'une nouvelle partie du corps de Dante était exploitée, Kalianna en décider ainsi...

Toujours avec son regard taquinant, et ses lèvres pincées, elle prit les mains de Dante, les posa chacune d'un coté et de l'autre de sa poitrine, pendant qu'elle défaisait le noeuds de son corsage, laissant à présent respirer ce qui s'y cacher à l'intérieur...
Et c'est ainsi que le vert et argent put y passer ses mains aisément, pendant Kalianna retournés à ses précédentes occupations...
Lui faisant tellement d'effet, elle ne put s'empêcher de retourner l'embrassait encore plus passionnément, avec une nouvelle touche d'exitation, et de sensuel, le serrant encore plus vers elle grâce à ses cheville croisée derière son corp si apétissant...

L'entre jambe de la jeune étant maintenant collé au bas du bassin du jeune homme, elle sentait que le jeu ne faisait que commencer...

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Désormais la soirée prenait un tout autre tournant, mais quel tournant alors ! Le jeune homme ne savait pas quelle heure il était, il avait perdus toute notion de temps, mais il s'en foutait.... royalement... Il pouvait être minuit ou bien midi, il ne s’arrêterai pas pour autant ! Ah il la désirai tellement, tellement, tellement !

Le Serpentard était torse nue, mais il avait pourtant si chaud ! Et réciproquement elle semblait avoir chaud elle aussi.
Après avoir un peu remonté la jupe de La Rouge et Or, il remonta délicatement ses mains, en prenant soin de les passer sur la poitrine de la Miss, et elle semblait apprécier.
Les tourtereaux se regardait dans les yeux, souriant tout les deux, et Kaly’ se mit à se mordiller la lèvre inférieure, ces mêmes lèvres qu’il appréciait tant… C’était terriblement excitant ! Ah il en était vraiment dingue !

Mais elle ne cessait de le rendre encore plus fou, fou amoureux, lorsqu’elle prit les mains de Dante et les déposa d’un côté et de l’autre de sa poitrine par exemple. Sur le coup, il plissa un petit sourire ne sachant pas vraiment à quoi s’attendre. Puis, elle défit le nœud de son corsage ! Et lui, ne pouvait s’empêcher d’y passer délicatement ses mains, pendant qu’elle l’embrasser tendrement dans le cou. C’était si bon, si incroyable de pouvoir se retrouver seul avec celle que l’on désire plus que tout ! On se sent si fort, si chanceux, si… Si dingue d’elle…

Et Kalianna semblait vraiment apprécier les gestes du Préfet, elle le serra d’ailleurs encore plus fort contre elle à l’aide de ses chevilles. Et, elle l’embrassa à nouveaux encore plus passionnément, plus sensuellement !
Lorsque leurs lèves de décollèrent, il baissa la tête en souriant, et il vit, oh il vit le sous vêtement blanc aux finitions en dentelles qu’il avait fait apparaître en relevant délicatement sa jupe. C’était, incroyablement excitant !

Le Préfet se mordit a nouveaux la lèvre inférieures sous le poids des sensations, et cette atmosphère si charnelle qui régnait....

Son bassin collé contre l’entre jambe de la Miss, il était littéralement excité ! Sa ceinture semblait être lourde, très lourde… Il était peut être sage qu’il l’enlève après tout. Mais peut être qu’il avait besoin d’aide aussi…

Alors qu’il s’adonnèrent à nouveaux à un long et tendre baiser, alors que leurs lèvres jouaient si sensuellement, il déposa ses mains au bas du dos de la Miss. Et, il décida de déscendre encore un peu plus bas, jusqu’à toucher les dentelles du sous-vêtement de Kaly‘. Ah il était tériblement excité le Dante se soir !

Le jeune homme vint a présent déposer maints et maints baiser dans le coup de la Sang et Or, puis il descendait, descendait jusqu’à n’être qu’a quelques centimètres, non millimètres de sa poitrine.

Et cette ceinture alors, qui semblait être si lourde et si pesante… qu’allait il advenir de la pauvre petite ceinture qui protégeait courageusement le jean du Préfet ?

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La nuit semblait se faire de plus en plus noire, et la lune avait tournée... Il se faisait de plus en plus obscure dans le couloir, et c'est ce qui aurait put temoigner du temps qui passe. Mais Kalianna ne regardait plus, et ne pouvait plus comprendre... ses yeux casiment toujours fermés, elle s'adossa au mur, reprenant une grande bouffée d'air... Elle n'avait plus de force pour revenir vers le jeune garçon tellement son corps tremblait d'excitation.

Elle portait autour de son cou, une petite croix en argent que lui avait donné un prêtre français lorsqu'elle avait du se réfugiée dans une église, les jours de froid intence. le prêtre lui avait dit que cette croix la protegerait de tout danger... et depuis elle ne l'avait jamais quitté...
Ce qui était assez drôle, c'est que cette croix avait tendence à se blottir entre les deux seins de la jeune fille, comme une clé qui entre dans la serrure, à la taille parfaite...

Lorsque Dante l'embrassa dans son cou, elle sentit qu'il décendait au fur et à mesur, suivant surement le chemin que cette croix lui indiquait...
Ses mains dans le dos de la rouge et or, il la retenait vers elle...la serrant toujours de plus en plus contre son bassin... Kalianna n'en pouvait plus et il fallait l'avouer, elle n'avait jamais ressentit une telle excitation...

elle le regarda de nouveau, comme elle pouvait car elle avait du mal à ouvrir ses yeux, surment du à son état...
Il releva à son tour sa tête, la regardant de bas, comme pour la provoquer, alors que ses mains remontaient le long de son dos...
Une d'entre elle s'arréta au milieu, tandis que l'autre prennait place sur sa nuque... Et comme s'il avait devinait qu'elle n'avait plus de force, il la tira vers lui, la decollant du mur, n'étant plus qu'au bord du meuble...

Leur corps entraient dans une danse...ils suivaient un rythme régulier et synchroniser, jouant avec leur bassin... elle aimait ça..... mais.... oui, il y avait un "mais", quelques chose la génait... Et sans prendre la peine de regarder, elle y alla à taton, passant ses mains sur son sexe, (ce qui les firent sourire tous les deux alors que leur lèvres restaient collées...), et enfin, Kaly' trouva l'objet qui n'allait pas tardé à rejoindre le sol...
elle tira dessus, defaisant les deux crochet qui la tenait fermement autour de la taille du jeune homme, et la tira d'un coup sec sur le coté,avant de tombait au sol, dans un silence incroyable...
Le jean de Dante se relacha légèrement, et la danse reprit de plus belle, invitant le jeune homme à se glisser entre ses jambes, la remontant légèrement à chaque mouvement, s'aidant de ses mains, qui à présent étaient passées sous la jupe de la gryffondor....

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Le Préfet en Chef venait de se faire délicatement ôter sa ceinture, son jean fut donc contraint de glisser le long de ses jambes peu à peu, il n’avait pas froid pour autant, non, au contraire ! L’ambience était si intense !

Se retrouver à moitié nue dans un des couloirs du château peut être assez gênant, et aussi très mal perçut. Le jeune homme ne l’était pas, du tout même ! Cependant, si un évènement des plus imprévus survenait, il aurait du mal, beaucoup de mal à trouver un motif d’excuses même avec son statut !
Mais prendre des risques, c’était si excitant ! Il adorait ça, tout comme il aimait tant être avec elle. Depuis qu’ils se fréquentaient tout les deux, le Serpentard semblait tout le temps joyeux, il en avait oublié les problèmes personnels, les examens…. Ah non hein ! Si il les avaient oubliés qu’on aborde pas le sujet ! Enfin, ces derniers temps il était insouciant, et très rêveur.

Au fur et a mesure qu’ils jouaient du bassin, son jean descendait petit à petit, il ne tarderait pas à se trouver en caleçon si sa continuait. Mais peut être que c’est se qu’il désirait après tout…
Toujours s’adonnant à leurs petit ‘’danse’‘ sensuelle, il remontait légèrement la Sang et Or en la hissant toujours plus près de lui, avec ses mains qui s’étaient malicieusement hissées dessous la jupe.
Elle était au bord du meuble, mais peut être pas pour longtemps. En effet après avoir déposer un petit baiser sur les lèvres de Kalianna, le jeune homme la souleva doucement, la laissait léviter à quelques centimètres du meuble. Il la tenait par les hanches, et elle déposa ses mains autours de son cou, et après s’être échanger un sourire, ils ne purent s’empêcher de joindre à nouveaux leurs lèvres, les laissant jouer entre elles, s’était devenu comme nécessaire.

De temps en temps il la hissait afin qu’elle ne glisse pas et finisse par tomber, ce qui aurait était une situation… hm drôle… enfin, faut voir tout de même, mais plutôt ne pas essayer !
Et lorsqu’il la faisait remonter, son bassin frottait délicatement avec l’entre jambes de Kaly’, le tout procurant une sensation très … ‘’stimulante ‘’ !
Ils étaient plus près que jamais, et ils ne semblaient pas pouvoir s’en défaire, ou plutôt ne pas vouloir. Le Préfet pouvait sentir la poitrine de la Miss contre son torse, il lui semblait aussi percevoir le battement de son cœur. Mais se devait sûrement être le sien, frappant comme s’il espérait sortir de sa cage sous le poids de l’excitation.

La Gryffondor n’était pas lourde, loin de là, mais il la déposa sur une petite table qui se trouvait en face du meuble. Elle fut contrainte de s’y allonger car il s’étalait presque sur elle en la couvrant de baisers. Quand il remonta délicatement, il fit tomber son jean jusqu’aux genoux, laissant entrevoir quelques peu ses jambes. Kaly’ était toujours allongée sur la petite table de bois, elle était si belle… Ah il n’arrivait pas à penser à autre chose qu’a … elle … toujours et encore elle.

Ils s’échangèrent peut être le centième sourire de la soirée, mais celui était un peu différent, il était bien plus sensuel, non pas sensuel charnel même ! Oh il la désirait bien plus que tout ce que l’on peu oser désirer ! C’est d’ailleurs sûrement pour cela qu’il se pencha à nouveau sur elle, sa main droite appuyée juste au dessus de la tête de Kaly’ et sa main gauche elle, elle lui caressait des plus tendrement sa poitrine. Le tout dans un énième baisers, qui était loin d’être leur dernier !

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Il se faisait tard, mais la notion du temps semblait avoir disparut pour les deux jeunes élèves de Poudlard.
Oui ils étaient tout deux comme aimanter...comme le soleil qui ne peut se passer de la pluie, comme la nuit qui ne peut se passer du jour, comme le bien ne peut se passer du mal, comme le ying qui ne peut se passer du yang...

Le désir si charnel et sensuel qui les entourait, avait changer soudainement l'atmosphère du couloir...
Le désir oui....ce désir qu'est notre être se manifeste positivement comme plénitude et affirmation de soi. Mais que le désir soit l'essence de l'homme ne signifie pas pour autant que les manifestations du désir en nous soient réductibles à la forme unique d'un désir primordial, auquel il serait impossible à quiconque de renoncer sans se trahir lui-même, ou renoncer à être soi. Au contraire, il y autant de désirs qu'il y a d'objets possibles du désir. Néanmoins, il semble que l'être humain ne puisse être véritablement lui-même qu'en se reconnaissant comme sujet désirant.Est-ce le corps ou l'esprit qui désire ?Considérer le désir comme notre essence même, et le moteur de notre existence, conduit naturellement à d'établir une hiérarchie entre le désir et les besoins corporels. Si on admet, en effet, que le besoin ressenti comme « vital » renvoie à la sphère biologique, et que l'homme en est affecté passivement, ne peut-on aller jusqu'à dire, par contraste, que le désir n'est ni « physique » ni passif ? De fait, tous les désirs ne sont pas empreints de passivité. C'est pourtant bien le cas, à coup sûr, du « désir immodéré de manger, de boire, de forniquer et d'être glorieux », qui définit les vices répertoriés sous le titre de « gourmandise, ivrognerie, lubricité, avarice et ambition ». De tels désirs, passifs, envahissants et exacerbés, sont autant de passions nuisibles à celui qui en est le jouet, et ne pense plus qu'à procurer à son corps les jouissances excessives qu'il réclame sans cesse....

Et oui, elle avait l'impression de le réclamer sans cesse, et d'être réclamée à son tour... Désirée, ne peut il pas être le plus beau sentiment que peut ressentir une femme? mais cela est pareil pour un homme...
Ils se désiraient mutuellement, et c'est ce qui nourrisait leur amour, le faisait croître à vitesse grand V.
Et c'est ce qi entrainait le jeune garçon à porter la jeune fille sur lui, la sentant encore plus prêt de lui... ce que la jeune fille ne pouvait mieux espérait...
Leur corps semblaient s'être retrouvés après une longue séparation, et seuls ils décidaient de ce qu'ils voulaient faire maintenant, laissant les esprit des jeunes élèves dans une extase inmesurable...

Il la déposa sur la petite table, et Kaly' se sentit partir en arrière sans mêle comprendre, recouverte de ses baisers, qu'elle impregnait en elle, n'en laissant aucun lui échapper...
Il la rejoingnit, montant sur elle, afin de retrouver sa place au creux de ses jambes, où il s'y sentait si bien...
Les jambes de Kaly', si fine et douce, venait à la rencontre de celle de Dante maintenant dénudés... et c'est ce qui, les fit repartir dans une danse...
Portant un bras derrière sa tête et caressant sa poitrine de l'autre, la couvrant de baisers, Kalianna se sentait partir... où? on ne pourrait vraiment l'expliquer, mais le jeune vert et argent semblait la suivre...
Elle releva légèrement la tête pour le voir, portant ses mains autour de son cou, le tirant vers elle, pour l'emmbrasser... l'embrasser... lui faisant rencontrer sa langue chaude, attendu par la deusième...
Se relevant à son tour, Dante attrapa les mains de la jeune fille et les emmena derrière la tête de la jeune fille... les bras tendu elle ne pouvait plus rien diriger, si ce n'est que son bassin, toujours dans cette danse rythmée par leur respirations...

Et profitant de sa vulnérabilité, il l'embrassa, décendant sur une joue puis dans son cou, passer au creux de poitrine et descendant le long de son ventre... ses mains ayant glissé le long de sa poitrine suivant le même chemin...
Kalianna adorait ça et c'est pourquoi ses mains étaient restées en place, attendant un nouvel ordre...

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Au-delà des fenêtres, de ses immenses vitres qui bordent le septième étage, on pouvait apercevoir le parc du Château. Il était profondément endormi à cette heure ci, comme berçait par le hululement des chouettes et le souffle du vent, tout deux mêlaient. Le Saule Cogneur, dont on apercevait un petit peu la silhouette gargantuesque, semblait lui aussi être prit dans un profond sommeil. C’est d’ailleurs là bas qu’ils s’étaient rencontrés, ou du moins réellement rencontré. Certes, ce n’est pas l’endroit le plus beau du monde loin de là, mais il restait symbolique à ses yeux. Et puis, on pouvait toujours lui trouver quelque chose de charmant à ce vieux tronc ronchon.
La description de la nature ne fait jamais de mal, et puis elle à un côté poétique vous ne trouvez pas ?
Il est vrai que ni Dante, ni Kalianna ne pouvaient entendre le craquellement des feuilles piétinées par Monsieur le Vent qui semblait de mauvais poil ce soir. Tout comme il ne pouvait pas voir les branches se pliaient difficilement sous le souffle imposant de ce même Monsieur le Vent.

Oh ça non, ils étaient trop occupés à jouer tout les deux. Théoriquement, il devrait faire sa tournée d’inspection et elle dormir paisiblement… A croire qu’ils n’aiment pas la théorie… Ils ne doivent pas être les seuls !

Au lieu de ça il se retrouvait sur elle, en train de l’embrasser progressivement en descendant. Il avait commencé sa quête sur la joue droite de la Miss, passant par le creux de sa poitrine, puis vint enfin son ventre. Puis, il refit le chemin inverse avant d’arriver aux lèvre pétillantes de Kaly’. Une fois devant, il y déposa un petit bisou avant de se relever quelques peu.

Il la regarda mélancoliquement, il avait envie de la dévêtir sur le champ de sa magnifique jupe, mais il prit son temps, car il faut toujours prendre son temps !

C’est ainsi qu’il redescendit à nouveaux, à croire qu’il n’était bon qu’à ça, vers le bas du corps de Kalianna. Sa jupe lui arrivée au genoux,le jeune homme déposa ses deux mains sur le bout de la robe et se mit à la lever doucement. Il montait, montait tout en se penchant sur elle avec l’impression de découvrir les plus belles formes de la Sang et Or…
Il remonta la jupe quasiment jusqu’à la poitrine de Kaly’, et il pouvait contempler tout se qu’il venait de mettre à nue. Cette sensation des plus stimulante lui fit un petit effet qu’il se contenta de garder pour lui. Il lui caressa délicatement le ventre, et fit tout de même bien attention à se que les plis de la jupe, formés en la remontant, ne la gêne pas ! Dante semblait jouait avec son nombril… Bizarre ? Nan mais oh je t’en pose des questions moi ! Et puis c’est très sensuel non de caresser un nombril ! Nan ? Comment ça débile ? C’est toi qui es débile…

Bref,

Kalianna prit les bords de sa jupe et les fit remonter, puis elle hissa son corsage par-dessus sa tête et finit par enlever l‘enlever. Là, Dante était comme un gamin qui vient de déballer ses cadeaux de noël, sauf que lui il venait d’avoir le plus beau des cadeaux…
Elle était si appétissante, il voulait lui sautait dessus pour la dévorer ! Mais était ce vraiment raisonnable de le faire dans un couloir du Château ? Il est vrai que c’était terriblement alléchant, mais tout de même. Le Directeur n’était pas loin, tout comme les Gryffondors, ou encore les portraits…. Non, non et non j’arrête cette thèse débile immédiatement ! Le Directeur il dort tranquillement, les Gryffondors l’imite et les Portraits… Bah ils regardent pas !

Cela faisait un petit moment que le silence régnait, enfin, qu’ils n’avaient pas parlé plus exactement. Mais la parole n’est pas forcement le meilleurs des ‘’ outils ’‘ de communication. Parfois les geste sont plus explicite. Dante était majeur, il était quelqu’un de responsable, et par-dessus tout il aimait Kalianna Kisen. Mais il ne voulait surtout pas la brusquer, ou la mettre mal à l’aise, non surtout pas !

Il mourrait d’envie, mais il ne pouvait pas. Non, pas tant qu’il ne serait pas sur qu’elle aussi en avait envie. Depuis le début de la soirée ils se cherchaient, à présent ils s’étaient trouvés. Le Dernier Acte avait commençait, restait à savoir comme la scène suivante aller se dérouler. Un signe, un simple geste, ou quelque chose qui lui permettrait de s’assurer qu’il n’y avait pas de quiproquos entre eux, voilà se qu’il attendait. Même si sans s’en rendre compte, il en avait plus ou moins eu auparavant dans la soirée.

En attendant, tous les deux en sous vêtements, ils continuaient de s’embrasser avec cette atmosphère terriblement émoustillante encore et toujours omniprésente.
Le Préfet en Chef redoutait que la Scène se termine par un coup de théâtre.

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Tous deux en sous-vêtements dans un couloir du 7ème étage de Poudlard... Kalianna avait son coeur qui s'embalait... était-ce bon signe? elle n'en savait trop rien, qu'attendait il d'elle? Il n'avait pas reparlé de l'histoire de la bibliothque, et ce qui fut assez surprenant, c'est que cela revint à l'esprit de la jeune gryffondor...

Tournant la tête su le côté, Dante continuait de l'embrasser dans son cou, ce qui était très agréable et l'aidait à reflechir tout en restant calme, elle qui de natur, est très impulsive...

Ses caresses était telles des plumes que l'on auraient put passer sur son corps pour la relaxer, et fermant les yeux elle ne pouvait s'empêcher de lui répondre...
Ils étaient si proche à présent et kaly' sentait qu'ils étaient arrivait à un certain stade, celui qui, si on le franchit, fait passer à une autre étape... Mais en avait elle envie? non mais attend, Biensur qu'elle en avait envie, mais elle ne avait pas si elle était prête... Car oui, Kaly' ne l'avait jamais fait, bien que cela puisse paraître bizar, elle n'était jamais passé à l'acte de faire l'amour...
Elle n'en avait pas peur, car elle lui faissait confiance, mais elle avait peur que cela tourne mal, qu'elle ne fasse pas ce qu'il faut, et... elle avait peur de le perdre....

Il s'arréta de l'embrasser et la regarda, passionément, comme s'il cherchait une réponse, logée au fin fond de ses yeux...
Elle se releva légèrement en s'appuyant sur ses coudes, ils se regardaient si tendrement mais elle avait l'impression qu'un sentiment de peur s'installait dans le regard de son tendre aimé...
Elle le regardait, et il se passait des secondes comme ça, les yeux dans les yeux, avec un sentiment et une atmosphère de doute qui s'installer...
Elle voulait lui dire... elle voulait parler et lui faire comprendre... mais aucuns mots sortaient de sa bouche...
elle voulait lui dire ....qu'elle avait envie de lui...
C'est alors que Dante s'apprétait à lui parler, et au moment où il ouvrit la bouche, elle posa sa main dessus, pour le faire taire...

Elle remit ses longs cheveux en place, sur son épaule droite, et elle passa ses mains derrière son dos, cherchant à dégraffer son soutient-gorge du même tissus blanc aux finissions de dentelles, et elle le decrocha, l'enleva délicatement, tout en le regardant de bas, d'un regard qui se transforma en un regard provocateur...

Il ne bougeait pas, comme pétrifiait, avec pourtant un regard de compassion...
Elle posa son sous-vetêments sur le côté, la laissant seins nus, s'approcha de son oreille pour lui chuchottait d'un souffle sensuelle et escité: J'ai envie de toi!! puis elle se rallongea, sans le quitter du regard, attendant qu'il la rejoigne....

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Le jeune Préfet souhaitait un signe, un signe qui lui aurais permis d’être sûr de se qu’elle désirait. Lui, plus que tout, voulait le faire, et étant donné que leurs caresses étaient allées relativement loin, il pensait qu’elle le voulait elle aussi.
Il ne faut pas être un médium pour deviner se genre de chose de votre partenaire, mais le doute est souvent présent lorsque c’est la première fois avec la personne en question. Après vous ne saurez pas si le Serpentard allait le faire pour sa première fois. Pourquoi ? Bah tout simplement car c’est très indiscret, ensuite car il n’est pas du genre à le crier sur tout les toits, et enfin car je ne le sais même pas !
Enfin, ces quatre mots qu’elle venait de lui chuchoter sensuellement à l’oreille, ces simples mots mit bout à bout le fit sourire, il avait eu sa réponse !

Mais avant de lui avoir dit ceci, elle avait gracieusement dégrafée son soutien-gorge laissant sa poitrine à nue. Oh ! Plus la nuit avancée est plus le jeune homme repoussé les limites de l’excitation ! Il en apprenait un peu plus à chaque seconde passée à ses côtés, chaque seconde qu’il semblait passer dans un tout autre univers, un univers si alléchant !

Quand elle se rallongea de nouveaux contre la table de bois, les seins à l’air, le jeune homme se sentit comme réconforter. Il n’avait qu’une seule envie, mais il fallait prendre son temps pour réussir. La patience étai synonyme de plaisir dans se genre de situation. Dante se contenta donc de plisser un petit sourire provocateur, et se pencha sur elle, l’embrassant dans le cou tout en palpant tendrement ses seins de sa main droite.
Et Kalianna semblait apprécier, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle il continua un peu avant de descendre sa tête un peu plus bas.
Le Préfet déposa un baiser entre les seins de la Sang et Or, avant d’en embrasser un, puis l’autre de manière à ne pas faire de jaloux. Kalianna mit ses mains dans la chevelure du jeune homme, pendant qu’il continuait de jouer avec ’eux’’.

Il fit descendre sa main gauche, en même temps qu’il remonta sa tête pour l’embrasser. Sa petite main malicieuse s’arrêta entre les jambes de Kaly’. Elle se mordait les lèvres alors qu’il descendit désormais petit à petit en l’embrassant sur le ventre. Lorsqu’il fut face à face avec le petit bout de tissu blanc finit par de ravissantes dentelles, il le prit délicatement des deux côtés et le tira tout doucement jusqu’au pieds de la Miss. Puis, il l’ôta, laissant la Gryffondor nue…. Elle était si excitante, si éblouissante… si … ah les mots me manque !

Kalianna souriait elle aussi, elle se releva doucement avant d’imiter le jeune homme. Tout aussi délicatement que lui elle déposa ses mains sur son caleçon noir, et lui enleva.

Se retrouver complètement nue dans les couloirs du Château, sa peut vraiment paraître stupide, mais si vous pensez cela, c’est que vous être une vielle sainte nitouche ! Car il n’y a rien de plus émoustillant ! Oh oui, vous être dans le doute permanent de vous faire surprendre pas n’importe qui ! Et puis, dès que vous passerez à nouveaux ici, vous ne pourrez vous empêcher de repenser à cet instant magique ! Argh les frissons m’en viennent !

Sans la brusquer, Dante Saddler s’était allongée sur sa tendre aimée, leurs ‘’ danse du bassin ‘’ avait repris, mais cette fois ci l’émotion n’était plus la même. Oh pas du tout même, désormais ils étaient au summum de l‘excitation ! Ils étaient fusionnels, ils ne formaient plus qu’un ! Ils s’étaient tellement désirés autant l’un que l’autre durant toute la soirée, que ce moment ne pouvait être que merveilleux ! Les dents serrées, ils continuaient de mener la danse, tout en étant le plus délicat et attentionné possible. Car il pensait à elle aussi, et non qu’a lui. Il veillait à lui faire ressentir les mêmes émotions que lui. Il voulait tout simplement être parfait, il voulait que se moment soit parfait, il voulait qu’elle en garde un fabuleux souvenir quoique leur couple devienne.

La scène finale venait de commencer, celle qui terminera l’acte mais aussi la pièce ! Reste à savoir si la représentation aura était de qualité !

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Faire l'amour n'est pas qu'une question de plaisir ou d'excitation, bien que certains peuvent le qualifiés ainsi, mais ici, il représenter l'amour qui reignait entre eux... Chercheant à chaque mouvements de faire ressentir à l'autre nos plus profonds sentiments, afin que tout soiit compris, que tout soit partagé et ainsi n'être que le plus proche que l'on puisse être.
C'est ce que compris Kalianna lorsque l'acte vint se mettre en place.. Chaque mouvement avait ses parole, traduitent dans les baisers qu'ils se donnaient toujours, et dans les caresses qui se baladaient sur leur corps...

C'est ainsi qu'il en vinrent à le faire, au beau milieu d'un couloir du 7ème étage, près du bureau du directeur, de sa propre salle commune, et d'innombrables tableaux... Mais ce qui était le plus excitant, c'est l'atmosphère dangereuse qui reignait autour d'eux!! voulant faire vite, tout en voulant resté le plus longtemps possible!!
Il venait de lui etiré son dernier sous-vêtement, et elle fit de même, laissant apparaître un corps de jeune homme, qu'elle adorait et qu'elle aurait put dévorer...
En tout cas, lui, il avait foncé droit sur sa poitrine, et kaly aimait vraiment ça, on pouvait sentir le savoir faire qui l'emmené encore plus en excitation...

Bref, c'est ainsi que la danse du ventre repris, mais cette fois-ci, c'était tout autre chose, il ne faisait plus qu'un, laissant leur respiration rythmait cette dance... une respiration qui se faisait de plus en plus entendre par le plaisir procurait par l'autre.
Il était si tendre et si doux, chaque mouvement était parfait pour kalianna, qui n'aurait put espérait mieux...
Son torse se frottait au sien dans le rythme, lèvre contre lèvre, se jettant des regards sensuels...

oh!! Elle en était folle!!!

Elle passait ses mains dans ses cheveux, sur son dos, dans son cou... l'excitation était si intense, qu'elle ne savait quoi fair e de ses mains qui ne pouvait s'empecher de se baladait...

L'amour était au rendez-vous et ne comptait pas les quitter de ci-tôt, du moins, c'est qu'espérait Kalianna...

La respiration de Dante s'accelera, accélérant à son tour le rythme de la danse qu'il menait, menant la jeune fille dans un sentiment qu'elle n'avait jamais éprouvée...
Elle s'acceléra, s'accéléra, et par un dernier mouvement, achevant cette danse, il respira à fond, et posa son ventre sur celui de la jeune fille, puis sa tête sur l'épaule droite de cette dernière, afin de se reposé...

Elle repris une grande bouffée d'air, et placa ses mains sur son dos, le laissant se clamer dans ses bras, elle baladait ses doigts sur cette peau si douce, espérant que cette nuit ne s'arrete pas pour autant...

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Ils venaient de le faire, tout les deux, ils l’avaient fait ensemble ! Ah c’était merveilleux ! Non non, Magique ! Un instant si court qui restera si longtemps dans leurs mémoires pourtant. C’est étrange ? Non, Fabuleux !

Le jeune homme, épuisé et soulagé, avait déposé sa tête sur l’épaule droite de la Sang et Or pour s’y reposer. Pendant ce temps, la Miss caressait son dos du bout des doigts, ce qui le fit sourire alors qu’il respirait assez fortement, haletant même !
Son cœur battait à une vitesse incroyable, il avait l’impression d’avoir courus pendant des heures entières sans pouvoir s’arrêter ! Enfin, la course c’est bien moins plaisant que de passer à l’acte hein, sauf pour une poignée de personne qui possède le QI d’un Scrout à Pétard.
Quoiqu’il en soit, le Préfet en Chef paraissait assez content de lui puisque Kalianna semblait avoir éprouvé autant de plaisir que lui, et Merlin seul sait à quel point ce fut torride ! Euh Merlin en fait il est pas tout seul, les deux z’amoureux aussi il le savent. Et peut être quelques portraits aussi en fait, mais du moins ils ne semblaient pas vouloir se faire remarquer.

Tout deux, nues, n’avaient pas envie que la nuit se termine pour autant, elle ne faisait pas que commencer, mais qu’importe l’heure, autant l’un que l’autre n’avait pas envie d’aller au lit, et encore moins de se dire au revoir. Le fait qu’ils soient dans deux maisons différentes apportaient beaucoup d’inconveignants mais encore plus d’avantages ! Ces amour, dit impossibles, sont de loin les plus excitants ! Il ne faut pas se fier aux œuvres littéraires tragiques qui exploitent ce sujet, nan puisque elles finissent toutes mal !

Le Serpentard releva doucement sa tête, sa respiration était plus ou moins normales désormais, il plissa un petit sourire à la Miss et vint délicatement déposer un baiser sur ses lèvres. Il avait chaud, oh oui très chaud même, mais les gouttes de sueurs semblaient s’estomper tout comme son pouls qui redevenait plus ou moins normal.
Il releva délicatement son ventre, pour qu’il ne lévite qu’a quelques centimètre de celui de la Gryffondor, et tout en s’appuyant avec son bras droit contre la table, Dante caressait le corps de celle qu’il aimait du bout des doigts.
Voyageant des épaules au nombril, il faisait des vas et vient incessant tout en esquissant de nouveaux sourires.
Le Préfet la regardait tendrement, elle était à lui, et il était à elle. Et à personne d’autres…

« Je t’aime… » Commença-t-il, son regard rivé vers celui de Kaly. « …Tellement… » Acheva le jeune homme.

Être nue lorsque l’on fait l’amour, c’est tout à fait logique. En revanche, lorsque vous l’êtes en plein milieu du septième étage sans grande raison, sa devient du naturisme ! C’est d’ailleurs peux être pour cela que le jeune homme attrapa son boxer qui traînait au pied de la Rouge et Or, et qu’il l’enfila assez hasardeusement. Kalianna l’imita et se remit en sous vêtement.

Par la suite, Dante s’assit au bord de la petite table de bois, ses jambes flottaient au dessus de ses fringues. Il avait passé une soirée fabuleuse, mais à présent il se demandait s’il devait rentrer dans les cachots ou non…

Invité

Continuant toujours de carresser son dos du bout de ses doigts, Kaly' sentit le jeune homme se decollé de son ventre. Il la regarda et lui adresse un sourire en coin, auquel, elle répondit

Il était si beau.....Bon d'accord un homme nu, c'est beau!! Mais Kaly', pendant qu'elle calmait sa respiration, elle le contemplait... Il posa ses lèvres sur les siennes dans une délicatesse incroyable, afin de marquer la fin ce moment si merveilleux qu'ils venaient de passer.

Il se mit à son tour à lui carresser le corps du bout de ses doigts, tandis qu'ils se regrardaient toujours, déposant des baisers de temps à autres.Et puis, il lui dit qu'il l'aimai, qu'il l'aimait tellement... Kalianna sentit son coeur chavirait, elle était si heureuse avec lui, si bien, alors qu'elle l'avait detesté...
C'est à cette pensée, qu'elle plissa un sourire avant de lui dire:
_" Oh dante, si tu savais comme je t'aime aussi!! " elle le prit dans ses bras, l'obligeant à se rallongé sur elle, elle continua tout bas dans son oreille... "merci...merci pour ce moment merveilleux... je ne veux jamais te perdre!!"

Il l'embrassa et s'assit sur le bord de la table. Kalianne se releva légèrement pour le voir, il enfiler déjà son caleçon. Voulait- il déjà partir? se sentant mal à l'aise, elle attrappa aussi ses sous-vetements et les enfila, elle plia ses genoux, toujours assise au milieu de la table, et les entoura se ses bras.

Elle le regardait et il finit par se retourner vers elle...

"tu veux rentrer à ta salle commune?" lui demanda t-elle d'une voix qui avait du mal à sortir de sa gorge comme si elle redoutait la réponse...

En effet, elle avait passé une merveilleuse soirée mais ne voulait pas pour autant qu'elle se termine ainsi. Elle le regardait toujours droit dans les yeux, et posa sa tête dans ses bras, un sentiment de trahison l'envahit soudain, nouant son estomac, ayant une soudaine impression, comme si le jeune homme avait eut ce qu'il voulait et qu'à présent la soirée été terminé....

Invité

La plupart des hommes s’endorment après avoir fait l’amour, d’autres encore font un baiser sur les lèvres de leurs conjointes avant de sombrer dans un profond sommeil. Ceci n’est qu’un geste anodin pour avoir bonne conscience, une sorte de mensonge qu’on essaye de croire. Il existe une multitudes de situations comme celle-ci, mais cette dernière me semblait la plus pertinente. Bien sur je tien pas à mettre Dante à part des hommes ordinaires, bien qu’il est absolument hors du commun, tout comme l’es Kaly’ d’ailleurs. C’est la raison pour laquelle il forme un beau couple de personne si extraordinaires, tout deux de vrais chanceux !
Enfin, tout ça pour mettre l’hypothèse du ‘’mec qui cherche à se soulager avant d’allait roupiller ’’ bien mais alors bien à part. Comment ça je suis vulgaire ? Du tout nan mais ! Toi en revanche tu l’es de me dire ça… Oui je sui vexé…

Bref,

Lorsque elle lui demanda s’il il désirait rentrer dans sa Salle Commune, il marqua un certain temps mort dans le but de réfléchir quelques secondes. Rentrer signifié hors de danger, repos etc. Mais rester était synonyme de Paradis. Le choix ne fut donc pas des plus difficile à prendre.
Le Serpentard se retourna doucement, regardant la Miss dans les yeux, il lui sourit tendrement avant de s’approcha tout près d’elle. Après s’être échangé un petit sourire malicieux, ils s’embrassèrent.

« … Rentrer ? Jamais… » Lui murmura le Préfet à l’oreille avant de venir rencontré de nouveaux ses lèvres si pétillantes.

Le jeune homme déposa sa main droite sur la joue de Kalianna, tout en perpétuant leurs baiser, où leurs langues jouaient de nouveaux entre elles. Toutes les deux se cherchaient, puis essayaient de s’attraper, et lorsque l’une d’elle semblaient s’éloigner, la deuxième ne tardait pas à la rejoindre. Son autre main, Dante l’avait soigneusement déposée sur la table.

Les deux z’amoureux, profitaient de la nuit qui n’était pas encore finit. Cette même nuit qui maquerait peut être la fin de leur si belle soirée ensemble. Hier était devenue demain, et les couloirs du septième étaient toujours aussi silencieux. A croire que tout étaient fait pour qu’ils ne soient pas dérangés, pour que la nuit soit vraiment merveilleuse. Enfin, mieux vaut ne pas trop parler car le Directeur peut toujours se rappliquer… Euh j’espère pas comme même !

Les deux élèves étaient toujours assis sur cette petite table de bois, qui avaient du courage d’ailleurs.
Quand la Gryffondor se pencha sur le jeune homme en prenant soin d’appuyer sa poitrine contre son torse, il fut contraint de s’allonger. Cette dernière se trouvait maintenant à quatre pattes sur lui, son pendentif froid effleurait le corps du garçon.
Lorsque elle se pencha pour joindre leurs têtes, le Serpentard déposa ses deux mains sur les fesses de celle dont il était foù amoureux.

Invité

Kalianna le regardait toujours, tête posé sur ses bras entourant ses genoux... Elle était toujours habillé que de sous-vetements tout comme Dante...
Il s'approcha de son visage et une fois qu'il avait ses lèvres tout proche des siennes, il lui murmura qu'il ne comptait pas la quitter de ci-tôt! Ce qui, on peut le dire, reveilla la jeune fille...
Ils s'embrassèrent, et pendant que le jeune homme déposé sa main sur sa joue droite, elle se déployait et par un mouvement d'appui, elle le fit basculer délicatement sur le côté pour qu'il reprenne place sur la table, mais ce coup-ci, c'était à son tour d'y etre allonger.
Se mordillant la lèvre inférieure, elle passa une jambe de chaque côté de son corps, tout en frolant son nez du sien.
Cela avait un caractère très excitant...
Dante placa ses mains sur les fesses de Kaly', ce qui la fit parcourir d'un frisson, qui lui envahit le corps...
Elle placa à son tour ses coudes de chaques côtés des oreilles de Dante, pouvant prendre appui, tout en approchant ses lèvres des siennes.
Venant à nouveau à se rencontrer, Kaly' l'embrassa comme elle ne l'avait encore pas fait, glissant juste ses lèvres, se touchant à peine, puis, descendant dans son cou, vers son oreille, revenant à sa ouche, en y glissant sa langue pour que le jeu reprenne... Dante la tiré vers elle sans ayant pour autant déplacer ses mains.

Kaly' fit à présent glissé ses genoux pour que son ventre vint se poser sur celui de Dante, caleçon contre shorty (et oui, sous une robe on va quand meme pas mettre un string!!), Il semblaient à nouveau se cherchaient bien que la fatigue commencer à se faire sentir...

elle décolla ses lèvres afin de pouvoir le regarder droit dans les yeux, ce regard, qu'elle aimait tant, lui passant une main dans les cheveux, elle lui murmura:
_"je t'aime Dante....je t'aime de tout mon coeur... je sui si bien avec toi..."
Et elle posa son oreille dans le creux de son cou, passant une main sur son torse...

Invité

Ces quelques mots, ces simples mots qu’elle venait de lui chuchoter le firent sourire. Il était si bien là avec elle, il aurai put l’embrasser jusqu’au lever du soleil… euh bon peut être pas en fait…
En effet, le nouveau lendemain vieillissait assez vite au fil du temps, ils étaient si bien ensemble qu’il ne le voyait même pas passer. Lui qui s’écoule si vite pourtant, enfin mieux vaut ne pas partir sur des discutions sur le temps car Dante n’avait toujours pas vraiment étudié ses aspic et il en avait pas envie… L’idée de rester cloîtré… il aimait pas ça… du tout même …
Et puis, elle était en sixième année, lui en en septième… Certes pour le moment sa ne posait absolument aucun problème, mais par la suite ? Le Préfet ne préférait pas y penser pour le moment, et profiter.

Bref, par la suite elle vint déposer son oreille dans le creux du cou du jeune homme, tout en passant une main sur son torse. Cette même petite main, qui s’arrêta sur la poitrine du garçon où elle put sentir les battements réguliers du cœur du jeune homme. Ce même petit organe qui n’avait qu’une seule place en lui, réservée à la Miss bien sur.
Lui, il déposa une main sur l’épaule de la Sang et Or, et l’autre il la fit glisser dessus celle de Kaly’. Le tout en fermant les yeux, il repensait à la nuit merveilleuse qu’ils venait de passer, ensemble, sûrement pas la dernière !

« Moi aussi… » Entama le Serpentard « …Je t’aime… » Se contenta-t-il d’achever dans un murmure…

Toujours les yeux clos, il se tut, profitant du sombre silence qui régnait dans les couloirs. Il était assez fatigué à vraie dire, mais il aurait put s’endormir auprès d’elle, en prenant le risque d’être découvert bien que se n’était pas une décision très sage, tout comme il aurait était capable de le faire non intentionnellement. Comment ça un boulay ? Non pas du tout, toi par contre…
Du bout des doigts, il caressait délicatement l’épaule de la Gryffondor et tenta d’oublier le reste.
Elle aussi semblait assez épuisée, mais ni l’un ni l’autre n’avait envie de se séparer sans savoir exactement où et quand ils se retrouveraient.
Il ne cessait de se dire que s’ils étaient dans la même maison tout serait bien plus facile, mais au fond, ce ne serait pas aussi excitant, pas aussi passionnel et charnel entre eux.

L’histoire de la bibliothèque pour revenir brièvement dessus, elle l’avait peut être oublié… Elle avait peut être eu les réponses qu’elle désirait ce soir, mais si ce n’était pas le cas il était prêt à les lui donner, toute sans exceptions. Mais pas maintenant, non pas encore. Oui, il était si bien l’un contre l’autre, se caressant mutuellement du bout des doigts en s’effleurant la peau, créant ainsi de petites frissons malicieux.
Le jeune homme vint déposer ses lèvre sur l’épaule de Kaly’, où il y déposa maints baisers, avant d’appuyer sa tête contre la sienne, toujours allongés sur la table. Dans cette position, le Serpentard pouvait pleinement sentir la poitrine de Kaly’ appuyé contre son torse, et au milieu son pendentif venait créer un contraste de température.

Il prit une profonde expiration, puis referma ses yeux, elle était blottit contre lui, et il ne pouvait rien espérer de mieux, absolument rien…

« On est si bien là… » Marmonna-t-il en faisant glisser sa main de l’épaule jusque derrière le dos de la demoiselle. « Oh, je te veux près de moi pour toujours Kalianna… » Acheva-t-il en souriant en se demandant si elle ne dormais pas déjà...

Il l’aimait, il l’aime, il l’aimerai…. Et ce comme un fou…

Invité

Il se caressaient toujours, tous les deux, du bout des doigts en se laissant sombrer dans un petit sommeil. Vous savez ce petit sommeil qui arrive par épuisement, celui qui ferme une première fois les yeux, puis on arrive à les ré ouvrir, et puis en core, jusqu'à ce que l'on les ouvre de moins en moins grands, et qu'on le suggère qu'il reste fermé après tout, ils sont si bien comme ça...
Et bien les yeux de Kalianna s'étaient fermés tout doucement tandis qu'elle entendait les paroles de Dante.... cette voix si douces, qui à chaque mots prononcé lui soulever le coeur, tellement ils avaient l'air sincère... Elle l'écoutait et au fur et à mesur, c'ets comme si chaque syllabe résonnait et qu'elle les renregistrer encore mieux, les comprenant, les assimilant...

Elle le serrait contre elle, elle en avait besoin, elle ne voulait pas le quitter, ça non!! même si elle savait qu'elle le retrouverait, elle avait passer une nuit si magnifique, qu'elle n'en croyait pas que le matin arrivait...car oui, les premiers rayons de soleil semblait apporté une petite teinte saumon sur le haut des arbres de la forêt interdite et Kalianna compris qu'il était bientôt tant qu'il se quitte avant que les premiers élèves se lèvent pour descendre à la grande salle...

La grande salle... Elle y descendrait elle aussi et verrait DAnte à l'autre bout, sur la table la plus éloignée... et elle comprendrait que la distance était revenue...

Mais bizarement, Kalianna avait moins peur de le quitter, et ce n'est pas parce qu'elle savait qu'elle le retrouverait, mais parce qu'elle avait rellement pris confiance en lui... Elle se sentait importante à ses yeux et c'est ce qui était le plus important pour elle.

Il la serrait contre elle, probablement car lui aussi comprennait qu'ils approchaient de la fin de leur nuit si torride et si douce à la fois...
Elle le serrait aussi, ne voulant pas s'endormir, mais ne voulant pas non plus se quitter...

Mais les rayons se faisaient de plus en plus imposant et pénibles, les éclairant petit à petit... Et ne sachant pas quand Dumbledore allais se levé, Kalianna se sépara petit à petit de ses bras si affectueux et protecteur, pour s'assoire a ses côtés, le regardait ouvrir les yeux tout doucement, laissant apparaitre un regard interrogateur...par lequel elle répondit assez vite en chuchottant:

_"Mon coeur, je crois que l'on va devoir se laissait là si on veut pouvoir se retrouver..."elle jetait un oeil au soleil comme pour le supplier de prendre son temps, et elle carressa la joue du jeune homme toujours allongé jusqu'à ce qu'il s'assoi à son tour sur la table...

_" je t'aime, tu le sais hein? tu l'oubli pas.... et je veux savoir quand je te reverré?..."

Elle s'approcha légèrement de son visage et elle déposa un baiser des plus tendre.... attendant sa réponse...

Invité

Chaque chose a une fin, bonne ou pas, elles se finissent tout le temps. C’est une logique que l’on aimerait parfois contourner mais s’était la dure réalité… Enfin, il ne faut pas non plus la voir comme un fléau. Imaginez un peu une route sans fin ? Un livre sans fin ? Se faire embrasser par la personne la plus laide et répugnante à jamais ? Ou encore être malade pour le restant de sa vie ? Et oui, cette dimension éphémère des choses n’est pas plus mal. Quoique, la meilleures des chose serait de pouvoir choisir, mais se serait très égoïste, et au final anarchique… Les fameux esprits supérieurs qui sont à l’origine de ce Monde ne sont pas si bêtes en fait.

Bref, les rayons du soleil arrivaient progressivement à se défaire de la lune, ils avaient tentés de se hisser au dessus de l’Astre tout la nuit mais vain, alors ils profitaient de leurs succès en prenant leur temps. Oui car il est intéressant de constater à quel point on savoure les moments agréable. Vous vous empressez de vous servir une tasse de café, mais vous prenez tout votre temps pour le délecter. Enfin, personne, hormis Dante bien sûr, est en mesure de dire quoi que se soit puisque tout le monde agit de la même manière, tout le monde sauf lui. Normal, puisque c’est lui !
Kalianna s’était assise sur le bord de la petite table en lui annonçant qu’ils ne devraient pas tarder à se quitter. Malheureusement elle avait raison ! Si les deux jeunes tourtereaux souhaitez se revoir à nouveaux il feraient mieux de se laisser. Mais le Préfet n’en avait pas envie, du tout ! Il voulait encore profiter des quelques poignées de secondes qui lui restaient à ses côtés. En se levant elle avait doucement effleuré sa joue.
Le Serpentard ne tarda pas à la rejoindre à l’extrémité de la table au bois craquelant, toujours à demi nue, il s’asseya derrière elle. L’enlaçant en collant son torse contre le dos de la Miss, il déposa son menton sur l’épaule de la Sang et Or. Suite aux remarques de la demoiselle, Dante plissa un sourire angélique. Elle tourna un peu la tête, il ils joignirent à nouveaux leurs lèvres pendant un court instant.

« Oui je le sais, ou du moins je l’espère… et je l’oublierai jamais… A une seule condition… » Commença-t-il à lu murmurer à l’oreille en souriant. « Je veux que toi aussi, tu sache que je t’aime…tellement… » Repris t’il en déposa ses lèvres sur l’épaule de Kaly’ « Et que tu ne l’oublies pas. » acheva-t-il en laissant descendre ses mains sur les cuisse de la jeune Gryffondor.

A présent les glorieux rayons émanant de la grande boule jaunâtre passaient à travers les Grande fenêtre du couloirs. Ce même couloir qui dans quelques heures verrait une foule de Rouges et Or se ruait en direction de la Grande Salle. Ce même couloir que le Préfet en chef de Poudlard n’était pas près d’oublier.

« On risque sûrement de se revoir, mais la prochaine fois… » Repris t’il en décollant ses lèvre de la peau si douce de son n’amoureuze. « Se sera dans la Salle de Bains des Préfets… » Continua-t-il en souriant.

Dante remonta doucement ses mains, pour finalement les retirer tendrement du corps de Kalianna. Le jeune homme se laissa tomber par-dessus la table et se pencha pour prendre son jean.

« Elle se situe au cinquième étage, si jamais tu ne trouves pas… Demande » lui affirma-t-il en enfilant son pantalon.

Torse nue, il se retourna vers celle qu’il aimait, il déposa ses deux mains baladeuses sur ses cuisses, et vint déposer un énième baiser sur ses lèvres pétillantes. Contraint de devoirs les décoller il s’assura de le faire gracieusement. Ainsi, tout deux se retournèrent pour se revêtir un peu. Le jeune homme avait enfilé sa chemise encore déboutonné et se mit à regarder son ange. Il la contemplait en train de remettre sa robe aux fines dentelles. Ne pouvant lui résister il laissa sa cape au sol pour le moment, et préféra la rejoindre à nouveau, elle était devenue indispensable pour lui maintenant.
Après qu’ils se soient échanger un regard désireux, ils se prirent tout deux dans les bras. Ils se rendaient compte que la soirée touchée son terme, mais ils ne le voulaient pas.

« Je t’attendrai, disons Samedi soir… » Entama Dante… « Le mot de Passe est 'Fraîcheur des Pains' » acheva-t-il.

Le Préfet déposa ses deux mains sur les joue de Kaly’ et l’embrassa langoureusement il ne voulait pas la laisser partir, alors il la serra dans ses bras.

» [ ... ] [Pv: Kalianna]
» kalianna et Dante
» kalianna et Svett, de retour de la foret
» kalianna kisen
» kalianna kisen